Pour les entreprises, la sélection des profils est toujours une étape centrale des processus de recrutement. Pour certains postes, les recruteurs savent précisément ce qu’ils veulent : un profil junior à fort potentiel de progression ou un profil senior déjà très qualifié dans sa branche. Néanmoins, pour d’autres, ils hésitent parfois entre plusieurs profils de candidats très différents. Dans cet article, on vous explique quels sont les avantages à recruter un jeune fraîchement diplômé d’un programme grande école, la formation de référence des grandes écoles de commerce.
Pour l’excellence académique de la formation
La première caractéristique qui définit le programme grande école est l’excellence académique. Pendant cinq ans, l’accompagnement y est très personnalisé et les étudiants bénéficient d’un encadrement de proximité, ce qui leur permet d’assimiler au maximum tous les concepts enseignés et de pouvoir les utiliser de manière optimale dans le cadre professionnel. Dans les écoles de commerce, les cours sont dispensés par des enseignants aux profils diversifiés : enseignants-chercheurs, certes, mais aussi professionnels en activité (contrairement à l’université). Ces professionnels, bien qu’ils ne soient pas enseignants-chercheurs, sont souvent fortement diplômés et extrêmement qualifiés pour dispenser des cours d’une excellente qualité académique, mais aussi orientés vers le monde professionnel. C’est notamment le cas à l’Esdes Business School, grande école de commerce et de management intégrée à l’Université Catholique de Lyon (UCLY). Dans le programme grande école de l’Esdes, le corps professoral est composé à 70% de docteurs, qu’ils soient enseignants-chercheurs ou professionnels en activité, des profils au service de l’excellence académique qui fait la réputation de l’établissement.
Pour l’expérience professionnelle acquise
Le fait qu’une partie des cours soient dispensés par des professionnels fait déjà du programme grande école un cursus professionnalisant. Grâce à cela, ainsi qu’aux multiples rencontres entreprises organisées par le corps administratif ou professoral, les associations étudiantes ou les entreprises elles-mêmes, les étudiants qui sortent d’école de commerce ont une idée précise de ce qu’est le monde du travail, de ce qu’ils veulent faire et de ce que l’on peut attendre d’eux. Cependant, les étudiants acquièrent également de l’expérience professionnelle véritable pendant leurs cinq années d’études. Tout d’abord, l’alternance est non seulement possible dans la quasi-totalité des programmes grande école, mais aussi fréquemment recommandée et encouragée. Par ailleurs, les étudiants doivent réaliser de nombreux stages (souvent un par an), pour accumuler de l’expérience professionnelle au fil de leur cursus, en général au moins un an d’expérience avec tous les stages cumulés. Ils sont donc opérationnels au moment de leur entrée dans le monde du travail. À l’Esdes Business School par exemple, chaque étudiant a réalisé 18 mois de stage en sortant du programme grande école, et tous les stages peuvent être réalisés à l’international. Si cette possibilité de partir à l’étranger est très motivante pour les étudiants, elle est aussi intéressante pour les recruteurs.
Pour l’ouverture internationale
En effet, les cursus d’écoles de commerces sont habituellement très orientés vers l’international. Si les stages peuvent être réalisés à l’étranger, les étudiants font aussi fréquemment des échanges organisés avec des établissements d’études supérieures partenaires, souvent en Europe, mais également dans des pays tiers très prisés comme les États-Unis ou le Canada. Beaucoup de cours sont par ailleurs dispensés en anglais (ou dans d’autres langues étrangères) et plusieurs professeurs ont un parcours international. À l’Esdes Business School, 70% du corps professoral est concerné. Par ailleurs, deux mois sont destinés à la réalisation d’une mission humanitaire, sociale ou citoyenne, en France ou à l’étranger. Grâce à cette ouverture humaine et internationale, les étudiants diplômés d’un programme grande école sont majoritairement bilingues, voire trilingues. Ils ont par ailleurs une grande ouverture d’esprit qui leur permet de comprendre les enjeux variés des différentes cultures d’entreprises à travers le monde.
